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LE MAROC ÉLU AU CDH-ONU


Le 10 janvier 2024, le Royaume du Maroc a été élu membre du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies pour la période 2023-2025, à partir du 1er janvier 2023.


A l’issue d’un scrutin secret au cours duquel les 47 membres de l’organe intergouvernemental des droits humains basé à Genève ont voté, l’Ambassadeur Omar Zniber a été élu avec 30 votes contre 17 pour son adversaire, l’Ambassadeur Mxolisi Nkosi, Représentant permanent de l’Afrique du Sud.




Cette élection constitue d’abord une marque de confiance de la communauté internationale envers le Royaume du Maroc. Elle atteste également de la crédibilité des réformes institutionnelles et législatives lancées par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, pour la protection, le respect et la promotion des droits de l’Homme et des libertés fondamentales.



Réactions du régime algérien


L’axe du mal, Alger-Pretoria n’a pas réussi son coup, une énième gifle infligée à la diplomatie algérienne qui n’a de cesse de se renouveler pour faire face aux succès répétitifs et retentissants du Maroc.


Le régime algérien a ameuté sa presse, sa diplomatie, et la bande criminelle du Polisario pour tenter de discréditer la candidature du Maroc à la présidence Conseil des droits de l’Homme de l’ONU pour l’année 2024. Et ce n’est pas une question d’ego seulement, mais surtout parce que le Maroc a bel et bien l’intention de discuter des sujets qui fâchent le voisin de l’Est.


Il s’agit bien entendu de la question des Sahraouis, ces Marocains retenus captifs dans les camps de Tindouf en Algérie depuis près de 50 ans. Il s’agit de leur recensement auquel l’Algérie s’oppose, il s’agit aussi de leurs conditions de vie et tout particulièrement de celles des enfants.


Le Maroc devrait également aborder la question des libertés et des droits en Algérie, notamment après le Hirak et la chasse aux sorcières qui a eu lieu au sommet de l’Etat. Le régime militaire algérien a eu beau cacher ses misères et tenter de noyer le poisson, il reste que des centaines d’innocents croupissent 5 ans plus tard dans les prisons algériennes. Leur seul tort a été de réclamer un Etat démocratique, civil et non militaire.


La rage de l’Algérie est à la mesure de son déchaînement pour empêcher l’élection du Maroc à cette instance à laquelle il accède pour la première fois. Le siège devait revenir à un pays africain et, entre Rabat et Pretoria, le choix a vite été fait tant le Maroc est un modèle qui inspire la confiance, qui jouit de crédibilité et de pondération.


Son professionnalisme, ses apports, sa diplomatie tranquille, réfléchie, son positionnement font qu’il est un acteur incontournable de la scène politique extérieure. En 2023, le Maroc a été élu à tous les postes auxquels il a candidaté au niveau continental, régional ou international.



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