Depuis quelques heures, le régime hystérique d'Alger a activé ses relais et mouches électroniques dans la manipulation du dossier Nassim Khalibat.
Les autorités israéliennes avaient sollicité l’extradition de Nassim Khalibat, âgé de 21 ans et accusé, avec son frère et un autre membre de la famille, d’avoir posé un engin explosif au ministère de la santé à Nazareth le 8 novembre 2021. Cette demande d'extradition conforme au cadre légal des extraditions et encadré par des conventions internationales et loi marocaine.
Au Maroc, cette procédure d'extradition est régie par un Dahir qui est le 1-58-057 du 8 novembre 1958 et complété par un autre dahir 1-70-17 du 27 juillet 1970.
La procédure d'extradition au Maroc débute par une demande par l'autorité judiciaire étrangère, adressée par écrit ou par voie diplomatique suivant l'article 726. Code de procédure pénale).
Cette demande est transmise au ministre des Affaires étrangères, après vérification des pièces comme prévu par l’article 726 du CCP, au ministre de la Justice.
À l'issue de l'examen, le ministère va envoyer l'individu devant la chambre criminelle de la Cour de cassation qui est l'instance compétente en matière d'extradition.
En présence de l'individu, une délibération a lieu en présence de son avocat. Si l'avis est favorable à l'extradition, c'est le chef du gouvernement qui est habilité à apposer sa signature sur un décret qui autorise la remise de la personne recherché à l'état requérant et cela suivant l'article 737 du CPP.
Les premières investigations menées par le Shin Bet, le service de sécurité intérieure israélien fait suite à un différend personnel et non d’un acte de violence motivé par des considérations politiques israélo-arabes. Ainsi, les accusations qui pèsent sur Khalibat, bien que sérieuses, ne semblent pas être liées à des enjeux géopolitiques, mais à un conflit familial, rendant la surenchère autour de l’affaire par les mouches électroniques algériennes encore plus flagrante.
Le détournement politique de ce dossier est intervenu lorsque Khalibat a été arrêté en janvier 2023 à Rabat, un an après sa fuite d’Israël. Tel-Aviv a ensuite transmis une demande d’extradition urgente. Le Maroc a pris le temps d’examiner la demande dans le cadre de ses obligations.
L’Algérie a saisi cette occasion pour lancer une campagne médiatique contre le Maroc. Le cas de Khalibat a été une aubaine pour les opposants de l’axe Maroc-Israël, qui ont relayé, à travers des médias bien connus, une version déformée de l’histoire. Ces derniers ont en effet insisté sur la nature “politique” de l’affaire, insinuant que l’arrestation de Khalibat, faussement présenté comme un résistant palestinien.
La vérité sur l’arrestation et la détention de Khalibat
Par ailleurs, l'avocat de Khalibat a critiqué le fait que le consul israélien n’ait pas rendu visite à son client, ce qui constitue pourtant une obligation de nature diplomatique. Rabat, lui, a toujours respecté ses engagements en matière de droit international et de coopération judiciaire. Il est également important de souligner que le Maroc, en tant qu’État souverain, reste maître de ses décisions judiciaires et a agi conformément aux principes de son système judiciaire. L’exécution de l’extradition répond plutôt à un processus minutieux et respectueux des règles en vigueur.
Nassim Khalibat est de nationalité israélienne vivant dans la ville de Bédouine de Basmat Tab'un ! Vous l'avez compris, il ne se trouve pas sur un territoire de resistance mais sur un territoire où la nationalité israélienne est nécessaire.
Lorsque l'on parle de soutien à la cause palestinienne, on parle d'un territoire, d'une résistance et non de soutenir l'anarchie et le crime, un criminel poseur de bombe n'a aucune immunité de part son appartenance religieuse ou sa nationalité.
Nassim Khalibat n'a pas souhaité faire de la résistance palestinienne en posant cette bombe mais il a répondu à une descente des forces de l'ordre israélienne dans une entreprise alimentaire qui appartenant à des organisations criminelles exploitant le blanchiment d'argent.. et son action est purement lié à ce fait !
La famille de Khalibat, et son avocat Nick Kaufman se sont inquiété du retard de son extradition. Nick Faufman avocat de nationalité néerlandaise qui avait une fonction de conseiller juridique pour les forces de défense israéliennes selon son profil Linkedin.
Que les ennemis du Maroc sachent que notre histoire n'a pas connu de décennie noire et plus de 200.000 personnes assassinés dans l'horreur et si laisser des terroristes poseurs de bombes s'est normalisé en Algérie avec la concorde civil (loi de grâce amnistiante) qui a été adopté le 8 juillet 1999 et qui a vu la libération de 6 000 islamistes coupables de crimes de sang, de viols et d'attentats à l'explosif dans les lieux publics. Non chers algériens, nous sommes un pays de droit et les criminels n'ont rien à faire en liberté !
Si la cause palestinienne était si chère aux yeux du régime algérien, il n'aurait jamais expulsé 53 réfugiés palestiniens vers la bande de Gaza via l’Égypte. C'est l’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme, basé à Genève, en Suisse qui avait tenu les autorités algériennes responsables de la protection des demandeurs d’asile palestiniens qu’elles ont expulsé vers Gaza via l’Égypte, affirmant que cela pourrait les exposer à de graves violations et violer leurs droits en tant que demandeurs d’asile.
Dans son communiqué, l’Observatoire avait indiqué que ces réfugiés, dont le nombre est estimé à 53 réfugiés, dont plusieurs enfants, sont arrivés illégalement en Algérie, après avoir quitté la bande de Gaza pour échapper au siège et aux guerres répétées auxquelles la bande assiégée est soumise par les autorités israéliennes.
Ce fait indique de manière évidente l'instrumentalisation de la cause palestinienne et pour l'appuyer, nous vous montrons ci-dessous les manifestations des familles palestiniennes suppliant le régime hystérique d'Alger de ne pas expulser les palestiniens vers Gaza.
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