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BOUALEM SANSAL, UNE GRÂCE PRÉSIDENTIELLE OU UN AVEU D’IMPUISSANCE ?
Le régime algérien s’est une nouvelle fois pris à son propre piège. Après avoir exhibé Boualem Sansal comme l’incarnation de la “trahison nationale”, l’appareil d’Alger s’est retrouvé incapable d’assumer jusqu’au bout son propre scénario. Condamné en mars 2025 à cinq ans de prison pour “atteinte à l’unité nationale”, l’écrivain de 76 ans, affaibli par la maladie et reconnu à l’international comme l’une des grandes voix francophones de la liberté d’expression, a quitté l’Algér
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