Une fois de plus, l'Algérie a exploité la question palestinienne pour servir son agenda. A Genève et en marge de la 57ème session ordinaire du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, l’Algérie a déroulé son jeu manipulateur afin de tromper l'auditoire.
La représentation algérienne a associé le drame des Palestiniens aux camps de Tindouf où l’Algérie retient des milliers de Sahraouis contre leur gré dans des camps de fortune, dans le cadre d’une réunion du « Groupe des Amis du Sahara », dirigé par l’Algérie et l’Afrique du Sud.
Lors de cette réunion organisée par l’Algérie le thème de « l’occupation et le droit à l’autodétermination » a tantôt évoqué l’occupation israélienne des territoires palestiniens, tantôt abordé la question du Sahara pour instaurer un parallèle et faire croire que le conflit serait de la même nature.
Rappelons aux algériens le rôle actif du Maroc dans la défense de la question palestinienne sous la présidence du Comité Al-Qods est érigé en exemple à l’international sans oublier la mobilisation de son peuple qui n'a cessé de prouver son attachement à la cause palestinienne et à la solution à deux Etats en pleine agression contre les Palestiniens de Gaza alors qu'en Algérie, le régime militaire empêche l’organisation de marches de solidarité avec la Palestine et qui se permet derrière de se servir de la tragédie subie par les Palestiniens pour alimenter son agenda anti-marocain.
L'approche algérienne de faire un parallèle entre la question palestinienne et le sahara marocain est totalement insensée étant donné des différences profondes entre leur fondement, leur contenu et leur forme.
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