Rabat
top of page

LE MAROC CONNECTE SES RÉGIONS ET ATTIRE LE MONDE

  • 11 juil.
  • 2 min de lecture
maroc infrastructures réseau routes

Le Maroc bâtit son avenir avec détermination en tissant un réseau routier moderne qui relie ses régions et propulse son économie.


Actuellement, 300 kilomètres de voies express sont en construction, tandis que 900 kilomètres supplémentaires sont programmés d’ici 2030, comme annoncé par le Ministre de l’Équipement et de l’Eau, Nizar Baraka.


Avec 1 670 kilomètres de voies express déjà en service, le Royaume Cherifien s’impose comme un modèle d’infrastructure en Afrique, sous l’impulsion visionnaire de SM le Roi Mohammed 6.


La voie express Tiznit–Dakhla, longue de 1 055 kilomètres et achevée à 97 %, ancre les provinces du Sud dans le tissu national, tandis que l’autoroute Guercif–Nador, de 104 kilomètres pour 7 milliards de dirhams, connectera le port stratégique Nador West Med au réseau autoroutier, dynamisant l’Oriental.


D’autres chantiers stratégiques avancent :


  • la voie express Fès–Taounate (73 km, 1,56 milliard de dirhams) réduira le trajet de 1h45 à 50 minutes, désenclavant le Nord,

  • la rocade nord-est d’Agadir (27 km) et l’autoroute urbaine d’Agadir (20 km), d’un coût total de 1,4 milliard de dirhams, fluidifieront le trafic dans le Souss-Massa

  • l’élargissement de la RN6 entre Dar Sekka et Sidi Allal El Bahraoui renforcera la connectivité du Nord-Ouest

  • la voie express Tétouan–Chefchaouen (48 km, 700 millions de dirhams) dopera le tourisme.

  • des projets comme Sidi Yahya–Sidi Kacem, Khénifra–Boujaad (85 km), et Taza–Oujda (162 km) complètent ce maillage ambitieux.


    Ces voies express, gratuites et sécurisées, ne sont pas de simples routes : elles sont des artères vitales qui irriguent les zones rurales, industrielles et touristiques, réduisant les fractures territoriales.


    Pour les Marocains, ces chantiers créent des emplois directs, comme les 1 500 postes générés par le TGV Al Boraq, et facilitent l’accès à l’éducation et à la santé.


    En réduisant les coûts logistiques, ils stimulent le commerce local et le tourisme, avec une hausse de 12 % des visiteurs après l’inauguration d’Al Boraq.


    Pour les investisseurs étrangers, ces infrastructures sont un aimant : en 2024, le Maroc a attiré 1,6 milliard de dollars d’IDE, en hausse de 55 %, grâce à des projets comme Tanger Med, premier port d’Afrique. Des géants comme Renault, Stellantis et BYD misent sur le Royaume, où 58 % des entreprises ont accru leurs effectifs après l’ouverture d’autoroutes.


    Le Maroc se distingue en Afrique par son réseau routier (1 800 km d’autoroutes, projeté à 3 000 km d’ici 2030), son TGV pionnier et une gestion efficace des financements.


    Le Royaume se positionne comme une passerelle vers l’Afrique etces infrastructures renforcent sa compétitivité mondiale.

Commentaires


bottom of page