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ALGÉRIE, IRAN, POLISARIO, LE TRIANGLE DE LA SUBVERSION CONTRE LE MAROC

  • il y a 17 heures
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ALGÉRIE, IRAN, POLISARIO, LE TRIANGLE DE LA SUBVERSION CONTRE LE MAROC

L’ombre du Polisario plane bien au-delà du Sahara marocain. Un rapport explosif, publié par l’ONG américaine DAWN et confirmé par plusieurs sources internationales (Washington Post, Deutsche Welle Arabic, chercheurs syriens), révélait la présence de combattants du Polisario en Syrie, aux côtés du régime de Bachar al-Assad, encadrés par le Hezbollah et financés par l’Iran.


Ces révélations confirment ce que le Maroc dénonce depuis longtemps : le Polisario n’est pas un « mouvement de libération », mais une milice instrumentalisée par Alger, intégrée dans l’axe Téhéran, Hezbollah.



Selon un document des services de renseignement syriens daté de 2012, reconnu comme authentique par des experts, 120 combattants sahraouis ont été intégrés dans des brigades de l’armée arabe syrienne, après avoir été en contact avec le Hezbollah à Beyrouth dès janvier 2011, au début du « Printemps arabe ».


En 2018 déjà, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, avait mis en garde contre l’armement et l’entraînement du Polisario par le Hezbollah, via l’ambassade d’Iran à Alger. L’enquête de DAWN confirme ces soupçons, des dizaines de combattants ont suivi une formation militaire au Liban, dans la vallée de la Bekaa, aux côtés du Hezbollah.


Lorsque le régime Assad s’est effondré, nombre de ces mercenaires ont fui vers le Liban, d’autres vers l’Irak. Plusieurs centaines d’entre eux seraient aujourd’hui détenus par les nouvelles forces de sécurité syriennes, accusés de crimes de guerre contre des civils.


Les révélations embarrassent Alger. En février dernier, son ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, s’est rendu à Damas pour exiger la libération de militaires algériens et de combattants du Polisario arrêtés dans le nord de la Syrie. Le président intérimaire syrien Ahmed al-Sharaa aurait sèchement refusé, annonçant même que ces hommes seraient jugés pour leurs crimes.


Des chercheurs syriens confirment que le Polisario disposait d’un bureau politique à Damas, véritable base régionale pour ses activités au Moyen-Orient. L’un d’eux souligne que la Syrie a toujours utilisé ce genre de milices étrangères comme monnaie d’échange politique : le PKK contre la Turquie, les Houthis contre l’Arabie saoudite, les forces de Haftar contre Tripoli, et bien sûr le Polisario contre le Maroc.


Ces faits viennent balayer la propagande d’Alger et du Polisario, qui tentent de se présenter comme un « mouvement pacifique ». En réalité, leurs combattants, formés par le Hezbollah et soutenus par les Gardiens de la Révolution iraniens, sont impliqués dans des crimes de guerre et dans des réseaux terroristes transnationaux.


La vérité éclate au grand jour : le Polisario n’est pas seulement une menace pour l’intégrité territoriale du Maroc, il est aussi un acteur du terrorisme international, complice de l’axe Iran, Hezbollah, Algérie.

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