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AMGALA 1976, UNE VICTOIRE MAROCAINE FACE À L’AGRESSION ALGÉRIENNE

  • 19 sept.
  • 2 min de lecture
AMGALA 1976, UNE VICTOIRE MAROCAINE FACE À L’AGRESSION ALGÉRIENNE

En janvier 1976, dans les sables brûlants du Sahara, le Maroc a inscrit une page de gloire dans son histoire militaire : la bataille d’Amgala. Cet épisode, longtemps occulté par certains récits étrangers, reste un témoignage éclatant de la vigilance du Royaume et du courage de ses hommes. Au cœur de cette victoire se trouve un nom qui résonne encore parmi les témoins : le commandant Ahmed Dlimi.


Lorsque les forces marocaines sécurisaient le Sahara, après le départ des Espagnols et le triomphe pacifique de la Marche Verte, l’Algérie choisit la confrontation. L’armée algérienne, rompant avec ses discours de neutralité, engagea directement ses troupes aux côtés du Polisario. Amgala devint alors le théâtre de la première confrontation armée ouverte entre le Maroc et l’Algérie indépendante.



Les Forces Armées Royales, disciplinées, organisées et guidées par une conviction patriotique inébranlable, réussirent à encercler les unités algériennes infiltrées. Durant les affrontements du 27 au 29 janvier 1976, les FAR remportèrent une victoire nette, capturant plus d’une centaine de soldats algériens et s’emparant d’un matériel militaire conséquent. Pour Alger, ce fut un désaveu humiliant ; pour le Maroc, la preuve irréfutable de son droit et de sa souveraineté.


Le commandant Ahmed Dlimi, officier marocain au sang-froid et à l’expérience du terrain, s’illustra dans cette bataille par son sens tactique et son courage. Sous sa conduite et celle de ses pairs, l’armée marocaine démontra sa capacité à déjouer une armée mieux équipée mais déstabilisée par la volonté de fer des défenseurs du Royaume. Amgala fut une victoire militaire mais aussi diplomatique : elle dévoila au grand jour la duplicité algérienne, contrainte d’expliquer la présence de ses soldats sur un territoire qui ne lui appartenait pas.


Près d’un demi-siècle plus tard, la mémoire d’Amgala demeure une source de fierté nationale. Elle rappelle que le Maroc, fidèle à son histoire millénaire, sait conjuguer légitimité, stratégie et bravoure. Les hommes comme le commandant Ahmed Dlimi incarnent cette génération de patriotes qui, dans le désert, ont fait reculer l’agression et affirmé haut et fort que le Sahara est marocain et le restera.

10 commentaires


Membre inconnu
19 sept.

Vraiment vous pas fatigué de mentir ....

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Membre inconnu
20 sept.
En réponse à

"Alors que nous nous sommes trouvés en Algérie en face d’une véritable poussière, d’un état de choses inorganique, où seul le pouvoir constitué était celui du dey turc effondré dès notre venue, au Maroc, au contraire, nous nous sommes trouvés en face d’un empire historique et indépendant, jaloux à l’extrême de son indépendance" une partie de citation de Lyautey au député birot, voici le concret des archives would franca, vazi crève littéralement de seum certainement tu finira un chahid au musée de l'homme 🇩🇿 💀 😂.

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