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LE “RÉFÉRENT” DU RÉGIME ALGÉRIEN RATTRAPÉ PAR LA JUSTICE AMÉRICAINE

  • il y a 3 heures
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JOHN BOLTON LE “RÉFÉRENT” DU RÉGIME ALGÉRIEN RATTRAPÉ PAR LA JUSTICE AMÉRICAINE

L’homme que les médias algériens citaient avec admiration vient d’être rattrapé par la justice de son propre pays. John Bolton, ancien conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump et figure controversée de la droite américaine, a été inculpé le 16 octobre 2025 par un grand jury fédéral du Maryland pour divulgation et mauvaise gestion d’informations classifiées.


Le lendemain, il a comparu devant un juge et plaidé non coupable avant d’être relâché sous conditions. Ces accusations, graves, pourraient lui valoir plusieurs années de prison. Pour celui que les rédactions d’Alger présentaient comme une “voix crédible” contre le Maroc, c’est une chute vertigineuse.



Mais derrière cette affaire judiciaire, se cache une vérité plus embarrassante encore pour le régime algérien : l’homme qu’il a glorifié est l’un des idéologues les plus sionistes et les plus hostiles à la cause palestinienne.


John Bolton a bâti sa carrière sur une vision du monde où Israël doit être au-dessus de tout compromis. Il a défendu le transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem, soutenu Benyamin Netanyahou dans toutes ses initiatives, et déclaré à maintes reprises qu’un État palestinien représenterait “un danger existentiel pour Israël”. En 2014 déjà, il écrivait dans le Washington Times :

“La création d’un État palestinien serait une erreur tragique. Cela mettrait Israël en danger et déstabiliserait tout le Moyen-Orient.”


Voilà donc le “héros” médiatique du régime algérien, celui que l’agence officielle APS et plusieurs journaux pro-pouvoir (Echourouk, Ennahar, TSA) ont cité à plusieurs reprises pour critiquer la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Ils omettent soigneusement de rappeler qu’il est aussi l’un des plus farouches ennemis de la Palestine, un partisan déclaré de la droite israélienne, et un défenseur acharné du sionisme politique.


Cette incohérence est la marque de fabrique du régime algérien : tout ce qui attaque le Maroc devient fréquentable, qu’il s’agisse d’un extrémiste, d’un manipulateur ou d’un criminel. Alger se proclame “anti-sioniste”, mais n’hésite pas à ériger un sioniste notoire en référence politique dès qu’il sert ses obsessions anti-marocaines.


Le même schéma se répète : soutien implicite à des milices, apologie de dictateurs, relais de propagandistes étrangers, le régime algérien soutient tous les voyous, pourvu qu’ils insultent le Maroc.


Pendant ce temps, le Royaume du Maroc, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, poursuit sa voie de paix, de stabilité et de développement, en renforçant ses alliances internationales et en consolidant sa souveraineté pleine et entière sur son Sahara. Face au vacarme de la haine, le Maroc avance.



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