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LA LOTERIE DU MOUTON EN ALGÉRIE

  • il y a 12 minutes
  • 3 min de lecture

Décidément, le régime algérien ne recule devant rien pour ridiculiser sa propre population. Dans la commune de Hrouch, wilaya de Skikda, une "tombola du mouton" a été annoncée avec le plus grand sérieux : le tirage au sort aura lieu à la bibliothèque municipale à 15h00.


Objectif ? Déterminer qui aura le droit d’acheter un mouton pour l’Aïd. Dans un pays supposé riche en pétrole et en gaz, le sacrifice devient une récompense de jeu de hasard. Et cette tambola du mouton ne se limite pas qu'à une commune mais à l'ensemble du territoire.



Mais cette scène absurde ne tombe pas du ciel. Elle s’inscrit dans une réponse maladroite, presque puérile, à la décision empreinte de sagesse de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste. Face à la cherté de la vie et aux effets de la sécheresse et afin de préserver le cheptel, le Souverain, en tant qu’Amir Al-Mouminine, a exhorté les marocains à s’abstenir exceptionnellement cette année de pratiquer le rite du sacrifice, rappelant que celui-ci n’est pas une obligation religieuse, mais une sounna, suspendable en cas de nécessité. Un geste de responsabilité, d’humilité et de protection sociale, largement salué au Maroc.


Mais chez les généraux algériens et leurs soutiens, le bon sens royal a été reçu comme une humiliation. Plutôt que de suivre l’exemple marocain et protéger leur population, ils ont activé leur machine à propagande pour discréditer la décision marocaine. Résultat ? Une contre-mesure grotesque : organiser une loterie pour distribuer des moutons comme s’il s’agissait de billets de concert. Parce que dans l’esprit du régime, faire l’inverse du Maroc, même au prix du ridicule, reste une priorité.



L’affaire a provoqué un véritable tollé en Algérie. De nombreux citoyens dénoncent une énième humiliation d’un pouvoir coupé des réalités, qui préfère improviser des solutions humiliantes plutôt que d’assumer ses responsabilités sociales. "Une loterie pour une bête sacrée ? La honte absolue", s’indignent les internautes.


Pendant que les Marocains s’unissent autour d’un message de solidarité et de foi, les algériens doivent prier… pour que leur numéro sorte. Une loterie du mouton, symptomatique d’un régime qui a perdu tout sens du sacré comme du sérieux.


"Une tombola pour une bête sacrée ! Quelle décadence !", s’indigne un internaute. D’autres parlent de "humiliation nationale", d’un État qui préfère organiser des jeux de hasard plutôt que d’assumer ses responsabilités sociales. Les réactions sont virulentes, mais toutes convergent vers un même constat : le régime algérien a transformé la misère en spectacle.


Cette affaire dépasse la simple anecdote. Elle traduit une faillite morale et structurelle. Car il ne s’agit pas d’un village isolé ou d’une initiative marginale : c’est l’illustration d’un État qui a perdu tout contact avec la réalité de son peuple. Comment expliquer qu’un pays exportateur d’énergie en soit réduit à gérer l’Aïd comme un jeu de hasard ?


Les témoignages recueillis en ligne illustrent un ras-le-bol généralisé :


  • Hachem : "Aucun autre régime ne rabaisse autant son peuple. On a touché le fond."

  • Cherif : "Ils auraient pu cibler les familles démunies. Mais non, on préfère les humiliations publiques."

  • Leïla : "Une tombola pour un mouton ? Les marocains ont été bien plus sensés."

  • Hicham : "Loterie du mouton ? C’est du jamais vu. Même pour le pèlerinage ou les visas, ça ne choque plus autant."


Ce dernier épisode n’est pas un simple raté de communication : c’est le reflet d’un État à bout de souffle, prêt à humilier ses citoyens dans les moments les plus sacrés. À ce niveau, ce n’est plus de la gestion, c’est du théâtre. Et pas du bon.


Pendant que les algériens doivent tirer un numéro pour espérer égorger un mouton, les responsables, eux, continuent de rôtir leurs privilèges… à la broche.


Que Dieu bénisse Sa Majesté le Roi Mohammed VI, guide Ses pas et préserve le Maroc et son peuple.



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