SABOTER LE MAROC, LE SEUL PROJET CONSTANT DU RÉGIME ALGÉRIEN
- 12 oct.
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Le 6 octobre 2025, à Kinshasa, lors de la 47ᵉ Assemblée générale ordinaire de la Confédération africaine de football (CAF), le président Patrice Motsepe a mis fin, une fois pour toutes, aux rumeurs entretenues par les relais du régime algérien sur un éventuel retrait de la Coupe d’Afrique des Nations 2025 au Maroc. Interrogé par un délégué algérien sur les manifestations ayant eu lieu dans plusieurs villes du Royaume, Motsepe a répondu avec calme : « Le Maroc est le plan A, le Maroc est le plan B, le Maroc est le plan C. » Une phrase historique, d’une clarté absolue, qui a résonné comme un désaveu cinglant pour ce voisin qui, une fois encore, souhaitait voir échouer le Maroc dans son organisation.
Depuis plusieurs semaines, les médias et relais du régime algérien ont multiplié les insinuations, évoquant des “incertitudes” autour de la CAN et allant jusqu’à suggérer que la CAF envisageait un “plan alternatif”. Des plateaux télévisés où il était même question à des appels à la “réaction populaire” des marocains lors de la cérémonie d’ouverture pour saboter l'évènement. Des postures qui ne relèvent plus du commentaire sportif mais de la provocation et incitation au désordre.
Ce comportement s’inscrit dans une vieille habitude : partout où le Maroc brille, l’Algérie s’agite. Qu’il s’agisse de réunions diplomatiques, culturelles ou sportives, le régime algérien se dresse systématiquement pour perturber l’action marocaine, incapable d’accepter la réussite d’un voisin qui avance.
Pourtant, la réalité est simple : la CAF soutient pleinement le Royaume du Maroc et son gouvernement dans la préparation de la CAN 2025. Le pays a démontré, depuis des années, sa capacité logistique, son expertise technique et son sens de l’organisation. Les infrastructures marocaines, qu’il s’agisse du futur Grand Stade de Casablanca, du Complexe Moulay Abdellah de Rabat ou des enceintes modernisées de Tanger, Agadir et Marrakech, sont homologuées par la FIFA et prêtes à accueillir la plus grande compétition du continent.
À l’inverse, l’Algérie multiplie les symboles d’impréparation. On se souvient encore des aveux du sélectionneur Djamel Belmadi, en 2021, déplorant les “champignons” qui poussaient sur la pelouse du stade de Blida, ou des travaux inachevés à la hâte pour masquer les défaillances structurelles. L’échec d’une organisation sportive durable y est devenu la norme, habillée de discours nationalistes pour dissimuler la réalité du terrain.
Ce contraste entre un Maroc stable, ambitieux et tourné vers l’avenir, et une Algérie prisonnière de son ressentiment, illustre deux modèles de gouvernance : l’un fonde son action sur la vision royale, la planification et la compétence ; l’autre sur la jalousie, la propagande et la fuite en avant.
La CAN 2025 sera marocaine, non seulement par la décision de la CAF, mais par l’esprit d’excellence qui caractérise le Royaume. Les agitations d’Alger n’y changeront rien. Ce que le Maroc bâtit avec méthode et dignité, nul ne pourra le saboter.
Rappelons que, peu avant la désignation officielle, l'Algérie s’était retirée de la course à l’organisation, conscient que le dossier marocain, complet et solidement soutenu, rendait toute concurrence inutile. Ce désistement, présenté comme une “décision stratégique”, était avant tout un aveu : le Maroc avait déjà gagné. Depuis, à chaque agitation au Maroc, les relais du régime algérien ressortent la même rengaine, le même voeux pieux : et si la CAN changeait de destination ? Mais la CAF a tranché : le Maroc n’est pas une option parmi d’autres, c’est la seule option.
Le Maroc modernise, investit et planifie. Ses stades sont homologués par la FIFA, ses infrastructures logistiques et hôtelières sont prêtes, et son modèle d’organisation inspire la CAF. Le contraste n’est plus sportif : il est structurel. Quant à l’Algérie, elle peut toujours espérer être le plan Z, bien que s’il fallait en croire le journaliste sportif Romain Molina, plus au fait des "zones d’attraction" sportives algériennes, disons simplement qu’une autre lettre, lui conviendrait mieux.











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