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DU JOURNALISME À LA SUBVERSION, LE VÉRITABLE VISAGE D’AHMED REDA BENCHEMSI

  • il y a 6 jours
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DU JOURNALISME À LA SUBVERSION, LE VÉRITABLE VISAGE D’AHMED REDA BENCHEMSI

Certains dangers viennent de l’extérieur mais les plus dangereux sont ceux qui s’insinuent dans les fissures du système qu’ils prétendent défendre. Ahmed Reda Benchemsi en est l’illustration parfaite : le prototype du “serpent de l’intérieur”, qui se nourrit de la liberté que lui accorde son pays pour mieux tenter de la retourner contre lui.


Fondateur du magazine TelQuel au début des années 2000, Benchemsi avait bâti sa notoriété sur une posture faussement “progressiste”. En réalité, il préparait déjà le terrain d’un projet bien plus politique qu’éditorial : façonner, au nom de la “liberté d’expression”, un discours corrosif visant à éroder le lien sacré qui unit le peuple marocain à sa Monarchie. Ce n’est pas un hasard si, en 2010, il tenta de publier un sondage sur “ce que les Marocains pensent de leur Roi”, une provocation calculée qui relevait moins du journalisme que de la manipulation psychologique.


Car au Maroc, SM le Roi Mohammed VI n’est pas un sujet de sondage. La Monarchie est l’épine dorsale de notre identité, héritée de treize siècles d’histoire et de dynasties qui ont forgé la nation. Remettre cela en question, c’est jouer avec le feu. C’est tenter de négocier avec les gènes d’un peuple.


Cette stratégie n’a rien de spontanée. Derrière la figure médiatique de Benchemsi se cache un calcul froid et une ambition personnelle sans borne. Issu d’une lignée étrangère, son aïeul, de confession zoroastrienne, venu de Perse (l’actuel Iran), fut accueilli au Maroc avec bienveillance par un peuple hospitalier. Deux siècles plus tard, son descendant semble avoir oublié cette terre d’accueil et l’esprit de loyauté qui la caractérise.


Après avoir loué les réformes de Feu SM le Roi Hassan II et les premières années du règne de SM le Roi Mohammed VI, Benchemsi a retourné sa veste dès qu’il a trouvé refuge dans les réseaux d’ONG occidentales. Directeur régional pour Human Rights Watch, il s’est transformé en procureur permanent du Maroc, profitant de sa position pour orienter les rapports et donner une légitimité “internationale” à des accusations biaisées et répétitives.


Ce revirement n’a rien d’idéologique : il est purement opportuniste. L’homme qui défendait autrefois les mesures sécuritaires après les attentats du 16 mai 2003 allant jusqu’à justifier la torture dans les colonnes de TelQuel comme un “mal nécessaire”, prétend aujourd’hui incarner la conscience morale du monde arabe. Mais son passé le trahit : il ne croit ni en la justice ni en la liberté, seulement en sa propre ascension.


Son ex-épouse, la journaliste Mouna Lahrech, a décrit sans détour le personnage : un être froid, narcissique, manipulateur, dont la compassion n’existe que dans les discours. Elle rappelle qu’il rêvait enfant de “devenir président du Maroc”. Ce n’est donc pas la démocratie qu’il prône : c’est le pouvoir, pour lui-même.


Plus récemment, Benchemsi a refait surface dans les cercles numériques liés au collectif GenZ212, cette mouvance manipulée qui tente d’exploiter les frustrations de certains jeunes pour semer la discorde. Depuis son exil confortable, il encourage la contestation, glorifie les actes de désordre et dénigre les forces de l’ordre marocaines qui, elles, protègent la stabilité du pays.


Son discours, habilement calibré pour séduire les naïfs, repose sur la même vieille rengaine : “monarchie autoritaire, presse muselée, peuple opprimé”. Une rhétorique usée, qui n’a plus aucune prise sur une jeunesse marocaine consciente, instruite et fière de son identité. Car la vraie jeunesse marocaine, celle qui travaille, innove et gagne, à l'image de nos U20 champions du monde, sait que l’avenir ne se construit pas dans la haine, mais dans la discipline et l’amour du pays.


Les serpents de l’intérieur comme Benchemsi ont une méthode : infiltrer le débat public, brouiller les repères, relativiser la vérité, puis exporter le mensonge à l’étranger. Leur arme, ce n’est pas le fusil, c’est la suggestion et instauré un doute permanent. Le soupçon sur tout ce qui fonde la stabilité nationale.


Mais le Maroc n’est plus celui de leurs illusions. Sous l’impulsion de SM le Roi Mohammed VI, le Royaume s’est doté d’institutions solides, d’une jeunesse éveillée et d’une société civile constructive. Aucun opportuniste, aussi diplômé soit-il, ne parviendra à déconstruire cette cohésion forgée par des siècles de fidélité à nos valeurs.


Il est temps d’ouvrir les yeux sur ce réseau d’influence qui, sous couvert d’humanisme, poursuit un objectif politique clair : affaiblir la Monarchie, affaiblir l’État, et diviser la Nation. Ces “serpents de l’intérieur” ne sont pas des voix libres, mais des relais de discours hostiles.


La mission de Maroc-Patriotique ne se limite pas à informer : elle consiste à élever la fierté marocaine, à transmettre l’histoire et les valeurs d’un peuple millénaire, mais aussi et surtout à dénoncer sans relâche toute personne ou entité, qu’elle soit étrangère ou intérieure, qui cherche à diffuser une idéologie douteuse ou hostile à nos symboles, à nos institutions et à nos intérêts nationaux.


Nous croyons en un Maroc fort, stable, fidèle à ses racines et tourné vers l’avenir sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI. Notre pays a su préserver son unité dans les tempêtes, il continuera de le faire avec dignité, sagesse et détermination. Et face aux tentatives de subversion, la réponse restera toujours la même : la loyauté, la vérité et l’amour du Royaume.


Le Maroc, fort de sa souveraineté, continuera d’avancer. Et face à la perfidie de ceux qui se prétendent critiques mais ne sont que complices d’un projet de déstabilisation, la meilleure réponse restera la même : l’unité du peuple autour de son Roi.

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