PENDANT QUE LA GENZ212 FAIT DU BRUIT, LA GEN U20 ÉCRIT L’HISTOIRE

Le Maroc est champion du monde U20. Une phrase qui dépasse la joie sportive pour entrer dans le domaine du symbole. Ce sacre n’est pas seulement la victoire d’une équipe : c’est celle d’une Nation, d’un modèle et d’une jeunesse. Il raconte ce que devient le Maroc quand il croit en lui-même, quand il mise sur ses enfants, quand il transforme la discipline et la confiance en résultats tangibles.

Ce succès mondial n’est pas le fruit du hasard. Il s’inscrit dans la continuité d’une vision portée par SM le Roi Mohammed VI, qui a fait du sport et de la jeunesse les piliers d’un Maroc moderne, stable et ambitieux. L’Académie Mohammed VI, les infrastructures nouvelles, les programmes de formation et la rigueur des fédérations ont produit cette génération d’or. Sous la direction du coach Mohamed Ouahbi, ces jeunes ont prouvé que le travail, la patience et le patriotisme peuvent mener un pays au sommet du monde.

Dans Son message royal, SM le Roi Mohammed VI a salué « la confiance, la cohésion et la foi dans le potentiel national » des Lionceaux, soulignant que ce triomphe illustre la force d’une jeunesse capable de relever tous les défis et de créer l’événement. C’est une victoire du mérite, mais surtout de l’esprit marocain : celui qui ne cède pas au fatalisme et qui avance malgré les vents contraires.

Mais tandis que le Maroc célèbre cette ascension, un phénomène inverse s’agite sur les réseaux. Une poignée de comptes anonymes, se cachant derrière l’étiquette “GenZ212”, tente de s’approprier la voix de la jeunesse marocaine. Ils parlent au nom d’une génération qu’ils ne représentent pas. Ils crient à la révolte depuis leurs écrans, pendant que d’autres, la “Gen U20”, gagnent sur le terrain. La première fait du bruit, la seconde fait l’Histoire. La “GenZ212” retweete la colère alors que la “Gen U20” incarne la réussite. D’un côté, la distraction numérique ; de l’autre, la discipline nationale.

Et comme toujours, ces agitations virtuelles trouvent écho chez le voisin de l’Est. Incapable d’égaler les succès du Royaume sur le terrain du développement, du sport ou de la diplomatie, le régime algérien consacre son énergie à tenter de nuire, d’inventer des divisions et d’inciter au désordre. Faute de trophées, il collectionne les provocations. Faute de jeunesse inspirée, il tente d’en déstabiliser une autre. Ces manipulations grossières, relayées par des médias d’État et des comptes créés pour semer le doute, sont la preuve d’une jalousie institutionnalisée. Mais elles échouent systématiquement, car le Maroc n’est pas un pays d’agitation : c’est un pays de construction.

Les images des rues marocaines après la finale parlent d’elles-mêmes. Tandis que certains cherchaient à faire descendre les jeunes dans la rue pour semer le chaos, les Marocains y sont descendus pour fêter la victoire. Là où certains appelaient à encercler le Palais royal, le peuple a entouré son drapeau. Ce soir du 19 octobre 2025, la jeunesse a tranché. Elle a choisi la fierté, pas la colère ; l’unité et non la confusion.

Certains esprits chagrins s’obstinent à minimiser l’événement, affirmant que “le Maroc n’a pas besoin de football, mais d’hôpitaux”. Ce discours, répété sans nuance, trahit une mauvaise foi évidente. Le sport n’est pas un luxe : il est un moteur social, éducatif et économique. Chaque victoire attire des investisseurs, renforce la confiance nationale et inspire des milliers de jeunes. Le Maroc construit des stades, mais aussi des hôpitaux, des écoles, des ports, des universités et des centrales solaires. Le progrès n’est pas un choix exclusif : il est global. Ceux qui prétendent le contraire ne cherchent pas le bien du pays, mais la stagnation de sa réussite.

Le sacre des U20 est donc bien plus qu’un moment sportif. Il est la preuve que la stratégie royale porte ses fruits, que la jeunesse marocaine progresse par le travail et que l’unité du pays reste inébranlable. Ces jeunes n’ont pas crié ou insulté, ils ont agi et ont conquis le monde.

À ceux qui doutent encore du Maroc, à ceux qui cherchent à l’affaiblir par la rumeur et la désinformation, la réponse est désormais mondiale : le Maroc avance, et sa jeunesse le mène.

Cette “Génération U20” n’est pas seulement celle d’un trophée. Elle est le miroir du Maroc d’aujourd’hui : confiant, structuré, ambitieux et fidèle à son Roi. Elle nous rappelle qu’on ne change pas un pays par la haine, mais par le travail ; qu’on ne l’aime pas en le défiant, mais en le servant.

Et à cette jeunesse marocaine, le message est clair : continuez sur cette voie. Croyez, apprenez, créez, bâtissez. Le Maroc vous regarde avec fierté. Vous avez prouvé que le rêve n’est pas ailleurs : il est ici, sur cette terre, sous ce drapeau.